Une amie emploie ce terme joli: Aisance de vie, pour évoquer -je crois- la responsabilité de chacun à l’egard de la place symbolique où il se trouve et d’où il a à déterminer ce qu’il y fout, là, ce qui l’anime, le pousse à agir, parler, décider … ou pas et à l’assumer.
Loin de la facilité à laquelle nous avait habitué l’aisance en sa haute définition, elle apparaît ici comme le fruit d’un labeur qui confine à l’éthique et installe le sujet dans une spatialité.
Nos aisances comme des zones où se débrouiller de nos subjectivités, en contiguité.
De l’aisance comme une plaisance
déplacement lent
dans une exiguïté à partager.
Mener sa péniche
voir du pays
et parfois de toutes les couleurs.