Aujourd’hui la ville sourit.
Elle semble s’être adoucie,
pas assoupie, ni assagie,
mais adoucie
suffisamment pour y entendre les oiseaux.
Le printemps y fait de discrètes apparitions
visuelles.
Les odeurs de béton ont peu de saison.
Le soleil détend les mâchoires
et accroît l’espoir.
J’entends chantonner le chef de gare.