Ca s’appelle un stage d’écriture
Dans une maison de bois, de paille et de terre
La fleur de nénuphar a fière allure
dans la mare que surplombe un petit pont de bois
La chatte est noire et blanche
Elle chasse à la grenouille
Et rejoint calinement le matin sur l’herbe pas tendre les trois personnes du groupe qui s’étirent à la japonaise.
L’ombre d’un grand figuier a donné le depart de la première matinée,
Pour moi une nouveauté.
L’hôte écrivaine court parfois après les poules avec une rame de barque,
en les traitant de garces parcequ’elles picorent ses plantations.
Au bout du jardin en permaculture court la rivière qui est un fleuve,
on s’y baigne
Je ne saurais dire si c’est jamais deux fois le même.
Aujourd’hui on y a écrit
Mon stylo est tombé dans l’eau
Mais il s’est relevé
Retrouver le cahier est une vraie liberté.
Écrire
A l’heure d’été
dans un temps et un lieu dédiés
Entourée
Savants ingrédients pour écouter nos émotions mal digérées que l’écriture se charge souvent d’aller trouver,
La garce!
Excellent de te savoir là un plaisir de te lire alors de belles créations à vous deux belles âmes 😊
Merci beaucoup Belle de Marseille 😊.
Que cette suite d’été te soit aussi colorée que tes tenues waxées!