Une anecdote météorologique.
Marseille n’a pas connu une seule journée sans soleil depuis le début de l’année, ce qui ne s’était plus produit depuis 1946.
Ce qui implique son corollaire, à savoir qu’il n’a presque pas plu, insuffisamment plu donc. Hic. Aïe. Ouh…
Mais en entendant cette info météo, dans un premier temps, ça a été un enchantement, celui d’une vie sans nuages, pour un temps, clément.
Je repensais alors à ce début d’année et me disais qu’on pouvait donc s’habituer au ciel bleu, au point de ne même pas remarquer l’absence de la pluie.
L’ensoleillance ferait alors oublier la possibilité des journées grises, comme ils disent. Quelle insolence.
Peut-être comme les jours heureux peuvent avoir tendance à amnésier nos contrariétés…