Brin du jour

Aigues morte

Marais salins de rose vêtu

qui faites miroiter ce ciel enneigé

de vaporeux  nuages nuptiaux.

La pierre est altière

Et ces remparts à archères la font meurtrière.

Les tours tendent leurs bras vers le ciel

Leurs pieds pétris

Leurs coeurs contrits.

Le regard peut glisser d’un toit à un autre,

jusqu’a ce qu’un bougainvillé l’arrête pour se montrer.

Le pont du train est levé

Il faut te quitter

Belle Aigues- Morte

Notre embarcation escortée par les canards du coin coin

Nerée nez au vent battant pavillon lorrain.

 

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