Délicatesse de mot

Vie silencieuse

Vie silencieuse, c’est ainsi que le peintre et poète Alexandre Hollan nomme la nature morte, traduisant de sa langue natale le mot hongrois csendélet.

J’ai découvert aujourd’hui même son mot délicat, comme son oeuvre, à l’occasion de l’exposition que lui consacre le musée Fabre à Montpellier.

J’ai été saisie.

A mes yeux, une peinture méditative dont la profondeur vient chercher le coeur de l’homme et lui donne à sentir le souffle du Vivant…

Souffle que cet artiste semble avoir appris à approcher progressivement, patiemment, lentement et minutieusement. En particulier en regardant puis peignant des arbres…

En partage, quelques-unes de ses vies silencieuses issues du catalogue de l’exposition, en m’excusant pour la piètre qualité des photos..:

 

 

1 Comment

  1. Je suis allé voir sur Google pensant m affranchir de la visite de l exposition , ce peintre si bien décrit par tes soins.Je n ai pas retrouvé cette sensation que m a procurée ta lecture.
    Tes mots sont plus forts que l image tronquée que m offre mon téléphone via l application du géant du Net..Toi connectée à l univers et son chant.

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