Brin du jour

Quand la presbytie nous guette

L’année où l’on a 40 ans peut éventuellement être un peu grisante, il s’y passe quelquechose, de nouveau, on a quelquechose de spécial, on a 40 ans.

Chez une femme c’est éventuellement sexy, d’avoir 40 ans. On serait éventuellement bien dans sa peau, laquelle n’ayant normalement pas encore rejoint la categorie « peaux matures » mais définitivement quitté celle des « premières rides ».

Quelque part entre deux âges, on ne sait pas vraiment ce qu’est le bel âge, mais ça pourrait très bien être celui-là.

C’est donc une année où l’on peut se surprendre à répéter à qui veut bien ou pas l’entendre, que l’on a 40 ans. Avec un sourire satisfait mais peut-être un peu inquiet, qu’en pense l’autre? C’est quoi avoir 40 ans? De quoi j’ai l’air? Combien de temps il me reste ?!!!

Et puis 41 arrive, la fête est moins folle, on en parle moins, voire pas et on sait déjà que les chiffres vont ainsi se succéder alors on ne va pas s’y attarder.

Jusqu’à se trouver nez à nez avec un ophtalmologiste:

– « Je vous avais vue en 2015, mais vous avez maintenant 41 ans. L’hypermétropie de votre astigmatie va provoquer une presbytie au plus tard d’ici trois ans. On n’y peut rien, vous aurez besoin de vos lunettes tout le temps. C’est l’âge! »

Bon bah vivement les 42!

1 Comment

  1. Oui comme tu le dis..C est un peu grisant !
    Un peu , puis beaucoup…on se fait des cheveux blancs. La nature est bien faite myope , astygmate , hypermetrope , on ne les voyait pas ces stigmates du cuir.
    Puis l homme à inventé les lunettes , plus possible de nier , correction à perpétuité telle est notre punition.
    Je lutte et refuse cette prison de verre.

    Ps : je ne sais plus oû j ai mis mes clés.
    Si quelqu un les a vues !?

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