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L’absurde au comptoir

Un petit remède retrouve-sourire pour une journée de janvier ventée,

déguster quelques Brèves de Jean-Marie Gourio,

qu’il a attrapées dans des bistrots,

où le vulgaire bien présent côtoie la délicate créativité de l’absurde qui a ma préférence.

En voici quelques-unes

« Vous posez un avion par terre, tout de suite ça  attire les autres avions. »

« Il est très hivernal cet hiver. »

« Tout ce qui est virtuel m’intéresse

– Il vous en faut pas beaucoup. »

 » La pluie ça le fait friser comme une dictée à virgules… »

« Tout l’après-midi je me suis marché sur le pied, c’est pour ça que je pouvais pas partir. »

« Si les vaches étaient minuscules et couraient sur les murs comme des araignées on n’en mangerait pas, je vois pas pourquoi on les mange alors qu’elles pèsent la moitié d’une tonne et qu’on mangerait pas des araignées d’une tonne. »

« Les fuites nucléaires, ça donne des nuages radioactifs alors que les fuites solaires, ça donne rien que du beau temps. »

« Quand on se tait, c’est pas la même façon de penser ».

 

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